Décider à la place des autres est tellement facile...
Choisir est tellement simple quand on n'a pas à faire ce choix...
Accepter l'ISG semble nous entraîner sur un chemin plus "facile", plus bordé, plus balisé - un chemin avec une douleur que l'on peut partager, avec des mots que l'on peut partager, des sentiments que l'on peut exprimer, des soutiens que l'on peut rencontrer.
Refuser l'ISG nous emmène sur un chemin inconnu, mystérieux, rempli de (mauvaises) surprises, de doutes.
Comment choisir entre un chemin de souffrance - où l'on se demandera toujours "Et si ?" - et un chemin d'ignorance - où l'on sait que l'on souffrira quand même ?